J'en vois déjà me faire les gros yeux, argumentant que j'ai déjà parlé de Reflets d'Acide épisode 14 ces derniers jours. C'est vrai, je ne le nie pas. Mais le premier article était avant la sortie, le second [celui-là, suivez un peu] après.
Tout d'abord, je dédicace ce billet à JBX qui a eu l'aimable amabilité [oui, moi aussi je peux faire des assonances, même si elles sont nulles] de nous fournir le MP3 quelques jours avant la sortie officielle, nous offrant en avant première une heure, une minute et quatre secondes de Reflets d'Acide inédits. Y avait même le texte avec, ce qui nous a bien aidé !
Dès vendredi soir, ce fut donc branle-bas [tricheliade !
] de combat parmi les
relecteurs officiels de la saga
[qui ont eu eux aussi en exclusivité
le texte de Reflets d'Acide – épisode 14, fallait bien les remercier de leur implication ! ], et
de 21 h à une heure, nous subtilisâmes sans bouder notre
plaisir ou notre temps. Après ce travail harassant, mes doigts
frappant le clavier avec peine, nous pûmes [deuxième verbe au
passé simple du billet ; notez-le ça arrivera pas
souvent] aller prendre un repos bien mérité, rêvant de Kyo ou
Zarakaï – je n'en dirais pas plus
in order to avoid spoiling. LE problème, c'est que
cette harassante soirée ne nous avait amenée qu'au chapitre
9 ! Le lendemain fut donc bien rempli, puisque la quasi
totalité des relecteurs me fit parvenir un fichier txt (ou doc
pour ceux qui ont oublié que le notepad est souvent un ami
suffisant) avec les subtilités qu'ils avaient trouvées.
Malheureusement, cette liste s'avère moins exhaustive qu'une
relecture extensive, mais ça c'est prévu pour ce soir.
Dans l'après-midi, on est pas restés à chômer, puique nous
[enfin, Fatalis, Lagile et moi] nous sommes attelés au projet
AT. On n'en dit pas plus pour l'instant car on attend les
retours des principaux concernés. Et l'air de rien, ce projet
AT [j'ai l'impression de parler dans un film américain] nous
prend du temps !
Long story short, nous voici arrivé au soir et au Grand Synops. La radio SynopsLive avait en effet organisé une diffusion exclusive de l'épisode [enfin, pour ceux qui ne l'avaient pas encore entendu, les pauvres. ] suivie d'une interview de JBX. Après de menus problèmes technique, l'émission commença finalement avec deux heures de retard ; diffusant l'épisode tant attendu par de nombreux auditeurs (le chat [le chat anglais, pas celui qu'on a dans la gorge ou qui fout des poils partout] témoigne de leurs ardeurs).
Mais la partie la plus intéressante pour nous, relecteurs, fut
bien entendu l'interview de JBX qui révéla beaucoup de détails
intéressants sur la saga et peu sur lui même. Je me demande si
un jour on n'en verra pas une retranscription sur le
net…
Entres autres, à un moment j'ai pu entendre parler de
moi ; ce qui est avouons-le est très plaisant,
particulièrement quand il est précédé d'un adjectif comme
« travail titanesque » [en tous cas, c'est ce que ma
mémoire a magnifié]. Il a fait la remarque que certaines
références listées étaient « indépendantes de l'insu de
son plein gré », ce qui m'étonne moyennement au vu de
certaines remarques faites par certains internautes (si on
prend la première lettre de la ligne, qu'on la passe dans
Google Translate pour la mettre en Lapon du Sud ancien et
qu'on applique un
chiffrement Assyrien, on trouve les initiales de « La forêt des
éventrés » ROFLM !! §). M'enfin, je critique
gentiment car dans l'immense majorité des cas les signalements
sont précis et réels.
Voilà qui clôt mes tribulations pathétiques ; j'ai une montagne de mails à traiter envoyés par des GI [gentils internautes] pour signaler une référence manquante à tel ou tel endroit. Et ce soir, on remet ça avec une nouvelle soirée relecteurs. Et la semaine qui vient risque d'être remplie de mails, dès que le monde Internet découvrira le nouvel épisode. Life Is Good.
Petit EDIT : le référencement continue d'avancer, et les logs du channel #Synops sont bien utiles ! Je les mets ici pour ceux qui en auraient besoin. Si quelqu'un ne souhaitait pas voir les logs en ligne, qu'il se signale ‑ je les enlèverai.