Il s'agit de l'un des nouveaux fers de lance de Google, mais au delà de ça c'est un problème de sens commun : plus une page est rapide à s'afficher, moins le visiteur patiente et plus il est heureux.

Même si on peut difficilement influer sur certains paramètres (comme le délai de connexion à l'hôte), on peut minimiser l'appel de fonctions lourdes en les délocalisant à la fin du script. Pas besoin de copier coller un à un les appels de fonction en bas de page, non seulement cela est inutile (il est très probable que vous ayez une page footer. php qui renverra encore du code, ruinant votre tentative d'accélérer la fin de page) mais en plus cela ne facilite pas la maintenance du code.

En fait, PHP met à votre disposition une « méta-fonction » qui permet de paramétrer des appels à d'autres fonctions en fin de script. Son nom ? register_shutdown_function(). Dans la suite de l'article, nous verrons un exemple d'utilisation…

Clients de 1&1, vous avez sûrement déjà pesté contre l'interface d'administration fournie.
Difficilement accessible (il faut trois pages pour y accéder, inadmissible quand on veut aller vite ! ), la session a tendance à se terminer vite… et toujours au moment le moins propice, c'est-à-dire à l'enregistrement de données (le mal aimé Session ID Missing ! )
Ajoutons enfin que la version de phpmyadmin fournie commence à dater un peu (la 2.6.4, la version actuelle est la 3.2.5), et vous aurez toutes les raisons pour chercher une alternative.

Par exemple, celle que je présente ici.

Nous allons donc installer nous même phpmyadmin. Plutôt que d'utiliser l'adresse bancale http://phpmyadmin.1and1.fr, nous créerons notre propre installation configurée selon nos souhaits.

  • Durée estimée : 30 minutes.

Voilà un terme que l'on retrouve dans tous les (bons) outils de statistiques : taux de rebond, ou bounce rate en version originale.
Exprimé en pourcentage, souvent de valeur élevée, que représente donc ce mystérieux indicateur ?

Taux de Rebond Google Analytics

Mettons-nous bien d'accord, réaliser un formulaire d'insertion pour une table SQL peut très vite devenir lassant.
C'est marrant une fois, deux fois… après, on se fatigue de devoir gérer manuellement les form, input et autres label.

Il y a des fois pour lesquelles on est obligé de faire un formulaire personnalisé, mais dans la grande majorité des cas on peut se contenter d'un formulaire générique.

Dans cet article, nous supposerons que l'on ne connaît que le nom de la table dans laquelle on veut insérer des données.
Il faudra donc récupérer la structure de la table, afficher un formulaire en fonction des différents types et si nécessaire préparer les jointures sur les clés étrangères.

Afin de simplifier le problème, on se fixera quelques conventions : pas de tinytext mais des varchar, pas d'enum (même si les gérer n'est pas difficile), une clé primary auto_increment nommée ID, et une convention claire pour les clés étrangères (le nom de la clé correspond à la table « mère » suivie d'un underscore et de la clé, par exemple Auteurs_Pseudo).

Petite introduction à l'importance de la sémantique.

Qu'on s'y entende bien : tenter de résumer en quelques lignes la sémantique serait comme de vouloir expliquer à un aveugle un panorama somptueux avec trente mots.
La notion de sémantique se construit au fur et à mesure des expériences, s'apprend souvent sur le tas et se conceptualise difficilement.

Mais qu'importe, je vais ici tenter d'en faire une présentation. Je n'ai ni la prétention, ni l'ambition d'en faire plus, mais j'espère que le peu que j'en dirai sera compréhensible.